Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (5) : Mariage Et Adultère.
Trois ans après que Philippe et moi soyons devenus amants, nous allions franchir une nouvelle étape : celle du mariage.
Pendant ces trois années, on se voyait à chaque fois que possible. Nous avions développé une sexualité bien à nous, où le coït classique occupait peu de place par rapport à dautres pratiques que nous avions développées : fellation, cunninlingus, fist-fucking, pratiques sado-maso.
Philippe se montrait envers moi dune tendresse immense, mais aussi mavait poussé à le dominer. Il était devenu mon homme, mais aussi mon objet sexuel, à qui je vidais les couilles à chaque fois que jen avais envie. Javais pris lhabitude de le sodomiser avec un gode ceinture.
Moi qui avais « collectionné » amants et maîtresses depuis mon dépucelage à 15 ans, je mastreignais à une totale fidélité depuis plus de trois ans. Jy étais parvenue, au prix dune grande frustration, car je ne ressentais pas grand-chose quand Philippe me pénétrait, sans compter que bien souvent il éjaculait assez vite, sans pouvoir attendre que je jouisse.
Cétait dautant plus dur pour moi que je suis clitoridienne et vaginale, que jai besoin dêtre bien remplie par une queue vigoureuse. En un mot, dans ce cas-là, je nai pas besoin de faire lamour, mais dêtre baisée violemment et longtemps, dans toutes les positions et enchainer les orgasmes, avant que le mâle ne se vide en moi, me possédant complétement. Cest tout cela qui me manquait depuis trois ans et ce malgré tout lamour de Philippe et les plaisirs nombreux que javais développés, découverts et pratiqués avec lui.
Pour rendre ma situation encore plus impossible, vous le savez, Philippe est candauliste et ne perdait jamais une occasion de me dire combien il aimerait me voir prise par un autre homme devant lui. Je refusais cette perspective, ne comprenant pas quil veuille moffrir à dautres et surtout parce que je ne voulais rien faire qui me ramène à mes travers précédents.
Notre mariage a été la première et grave entorse à mes bonnes résolutions. Philippe a tout fait pour cela.
Philippe voulait que notre mariage soit inoubliable. Il avait choisi dinviter un maximum de monde tant à la réception quau repas de noces. Il voulait montrer à un maximum de monde son bonheur. Jai compris ensuite quil voulait exhiber sa jolie femme. Se heurtant à mon ferme refus de ses fantasmes candaulistes, il se disait quil fallait créer les occasions qui me feraient revenir à mon hypersexualité.
Il avait réservé pour nos noces un hôtel de luxe, dans un très beau parc, en prenant soin de réserver aussi des chambres pour les invités, comme pour nous.
Il a aussi voulu choisir personnellement avec moi la robe de mariée. Il voulait que je me marie en blanc, alors que je lui avais dit :
Cest la couleur des vierges. Il y a bien longtemps que jai perdu mon pucelage, tu sais, avec tous les amants que jai eus.
Pas assez à mon goût et surtout ça me frustre que tu nen nas plus depuis que tu me connais
Tu es incorrigible !
Laisse-moi faire. Le blanc te va si bien. Le contraste avec tes longs cheveux noirs, avec ta jolie peau halée, mon Aphrodite.
Il parait quelle était blonde !
Nous fîmes de nombreux magasins. Ce nétait jamais assez cher et surtout jamais assez sexy. Il finit par trouver ce quil recherchait :
Mon chéri, elle est magnifique mais.. Déjà, pour commencer, elle est hors de prix.
Rien nest trop beau pour toi.
Et surtout elle est absolument indécente. Tu as vu ce décolleté, ce dos nu, la façon dont elle est fendue jusquau haut des jambes.
Olga, fais-moi plaisir. Si je pouvais, je texhiberai nue. Je veux que les autres femmes crèvent de jalousie, que les hommes soient fous de désir. Que tout le monde sache que ma femme est magnifique et que cest moi quelle a choisi !
Tu es fou. A la mairie, on va maccuser dattentat à la pudeur !
Si tu y tiens tu porteras une étole légère à la mairie. Pour la réception et le diner, nous serons entre nous.
Entre nous, avec toutes les personnes que tu as invitées. Puisque tu insistes tellement, on y va, mais tu ouvres la boite de Pandore et le jour de notre mariage.
Ca ne me déplairait pas, bien au contraire !
Vicieux !
Je fais une concession. Tu porteras un mini-string, pour une fois. Mais pas de soutien-gorge.
Les mecs vont passer leur temps à mater mes seins !
Cest ce que je veux. Rien que dy penser, ça me fait bander !
Je lui jetais un regard noir, furieuse quil joue ainsi avec moi. Mais un baiser déposé sur mes lèvres me désarma. Après tout, si cest ce quil voulait, je lui ferai plaisir !
Nous étions en juin 2003, lannée de la canicule, et il faisait à ce moment particulièrement chaud. Avec cette robe ultra-sexy, je ne risquais pas de souffrir trop de la chaleur !
Jai su plus tard comment Philippe avait organisé les choses. Il sétait ouvert de ses fantasmes auprès de deux de ses proches :
Pierre, un beau brun type italien, le meilleur ami de Philippe et qui serait son témoin.
Christine, une blonde plantureuse, qui formait avec son mari Jean un des couples les plus connus de notre ville, réputé pour sa liberté de murs. Christine sera, bien plus tard, mon amante. Ce jour-là, elle était mon témoin.
Philippe leur expliqua que, depuis quils se connaissent, Olga avait radicalement changé et se refusait à toute autre relation, encore moins de répondre à ses fantasmes candaulistes.
Fais attention, Philippe, lui dit Pierre, cest comme ça que tu as perdu Flavienne et Patricia.
Avec Olga, cest différent. Elle lutte contre sa nature, elle se rend malheureuse. Il faut arriver à la faire changer davis. Et quelle plus belle occasion que le jour de notre mariage pour y arriver ?
Cocu le jour de ton mariage ? Tu es tout de même un drôle de type, Philippe, dit Pierre.
Cocu oui, mais heureux car je saurais que ma chérie a eu enfin le plaisir dont elle se prive depuis trois ans. Et pour ça, jai besoin de votre aide, mes amis.
Comme tu sais, Jean ne pourra assister à votre mariage. Cest bien dommage, car il aurait adoré te rendre ce service !
Ce nest que partie remise, Christine. Un jour Jean baisera mon Olga, je nen doute pas.
Il y compte bien, comme moi jespère aussi un jour un jour la mettre dans mon lit. Tu mas dit quelle aimait aussi les femmes. En attendant, pour ce grand jour, tu as pensé à qui ?
A toi, Pierre, mon ami, mon témoin. A toi lhonneur du premier adultère, de faire jouir ma femme, dapaiser une frustration de près de trois ans.
Cest une excellente idée. Pierre a déjà participé à nos parties fines et cest un amant exceptionnel. Ton Olga va prendre son pied.
Je suis prêt à relever le défi. Mais je te préviens, Philippe, une fois que ce sera lancé, ne change pas davis, ce sera trop tard.
Changer davis ? Je rêve de ça depuis trois ans. Je te demande juste de bien la faire jouir. Elle sera entièrement à toi, tu pourras te vider en elle, je te fais confiance.
Il faudra être discret ?
Au contraire, ça me plait que les gens se doutent que tu me grilles la politesse pour la première nuit conjugale.
Et comment procéder ?
Christine et toi, vous saurez comment vous y prendre.
Tu peux compter sur nous.
Je nétais naturellement pas au courant de ce « complot » organisé Par Philippe avec Pierre et Christine.
Le grand jour était arrivé. Jétais comme une princesse, après avoir passé la matinée aux bons soins de la coiffeuse et de linstitut de beauté. Aucun détail navait été laissé au hasard, depuis le vernis de mes ongles jusquau fard des yeux. Les chaussures, avec leurs talons à aiguille, mettaient encore plus en valeur mon joli cul. Je me regardais dans la glace pendant que deux femmes achevaient de maider à me préparer (je nose pas dire en loccurrence mhabiller) et jétais effarée. Bien plus quau magasin où Philippe mavait e à acheter cette robe, je me rendais compte de son incroyable indécence. Cétait une robe pour la Cicciolina, pas pour la jeune femme sage que je pensais être devenue. Philippe mexhibait comme un trophée de chasse. Mes sentiments étaient partagés. Javais honte et, en même temps, moi qui avais toujours eu une tendance à lexhibitionnisme, jétais fière de ma beauté qui rayonnait ce jour-là.
Tu es magnifique, ma chérie. Merci davoir accepté de porter cette robe.
Tu as tellement insisté. Je naurais pas dû accepter. Cest trop. Je vais faire scandale. Avec ce décolleté, on voit mes seins. Et avec la lumière, le soleil quon a aujourdhui, je suis aussi indécente que si jétais nue.
Je veux que chacun et chacune voit le trésor qui est à moi.
Oui, je suis à toi. Je croyais que tu nétais pas exclusif, mon chéri
Je ne le suis pas, je rêve toujours de te voir avec dautres.
En attendant tu es superbe aussi dans ton costume et, si jen juge avec la bosse qui déforme ta braguette, je te fais de leffet. Dommage quon nait pas le temps, je taurais bien taillé une petite pipe, pour te soulager et avoir ma dose de foutre de mon chéri. Tu ne perds rien pour attendre.
La cérémonie en mairie se déroula en petit comité, avec les témoins et les proches. Je remarquais que Pierre et Christine étaient particulièrement prévenants envers moi. Ils me considéraient comme une proie, mon instinct me le disait. Ils me déshabillaient du regard. Il était évident que Christine aimait les femmes. Elle était le genre de femmes qui mattiraient, une blonde plantureuse, avec des seins fermes qui devaient lui permettre de pratiquer sans problèmes la branlette espagnole avec ses amants. Je mimaginais nue, abandonnée à ses caresses saphiques. Quant à Pierre, je ne pouvais pas ne pas remarquer leffet que je lui faisais. Comme Philippe tout à lheure, son érection se voyait. Mais manifestement la dimension et le calibre nétaient pas ceux de mon futur mari. Je chassais de mes esprits les pensées érotiques que minspiraient nos témoins.
Lofficier détat-civil, en voyant ma tenue, ne put sempêcher de faire une remarque :
Au moins avec votre tenue, Madame, vous ne souffrirez pas trop de la canicule.
Lors de la cérémonie elle-même, au moment de la lecture des articles du Code Civil relatifs au mariage, Philippe ne put sempêcher :
« Article 212 : Les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours et assistance ».
En ce qui concerne la fidélité, jaime trop ma femme pour ne pas la dispenser de cette obligation ».
Je lui jetais un regard noir et la cérémonie se poursuivit ensuite sans autre incident. Lui voulait savait quavant la fin de la nuit de noces mon serment de fidélité serait rompu.
Nous rejoignîmes ensuite ce bel hôtel que nous avions réservé pour notre cérémonie, et qui bénéficiait dun très beau parc, dont lombre était bienvenue.
Ce fut alors le long défilé des invités pour nous féliciter. Pierre et Christine, en tant que témoins étaient parmi les tout premiers. Christine membrassa dans le cou et derrière loreille et en profita pour mettre une main sur mes seins. Comment pouvait-elle ainsi connaitre mes zones érogènes ?
Quant à Pierre, il me prit dans ses bras, pour faire en sorte que je sente bien son érection. Lui, cest sur mes fesses quil posa sa main et son baiser fût donné tout près de mes lèvres.
Le défilé me parut interminable. Beaucoup de femmes me jetaient un regard noir et séloignaient en disant assez fort pour quon entende « petite putain » Les hommes prenaient leur temps, pour bien mater mes charmes. Il y a dailleurs failli y avoir un incident diplomatique avec un couple dont la femme navait cessé de faire des commentaires acerbes sur ma tenue. Quand ils sont arrivés pour nous féliciter, je nai pu mempêcher de provoquer le Monsieur
« Profitez en bien cest autre chose que votre femme, non ?
Je me suis ramassé une gifle et ils sont partis sans demander leur reste.
Lorsque tout le monde eût achevé de présenter ses vux, Philippe fit un discours où il exprima son immense amour pour moi, sa fierté que je porte désormais son nom. Mais il ne cacha guère ses intentions :
Certains dentre vous ont peut-être été choqués par la tenue que jai choisie pour Olga aujourdhui. Jai voulu, aux limites de la décence jen conviens, que nul nignore les trésors qui sont à moi aujourdhui. Je ne suis pas égoïste et ce qui est beau ne saurait être caché. Je tiens à ajouter que je ne suis ni jaloux, ni possessif. Au contraire, Olga est totalement libre de faire tout ce quelle veut. Tout ce qui compte pour moi est quelle soit heureuse, quelle maime et ne me cache rien ».
Ce discours mavait mise mal à laise et dès les applaudissements finis, jai pris Philippe par la main et je lai entrainé vers la chambre, à létage. Jai descendu son pantalon et je lui taillé une pipe magistrale. Je nai pas voulu quil soccupe de moi
Oh mon Olga, que cest bon. Ma première fellation dhomme marié. Mais jaimerai aussi moccuper de toi, te caresser, te lécher, te doigter.
Tu mas fait passer pour une prostituée, alors je me comporte comme telle. Je vais te vider les couilles et tu vas me donner une bonne dose de foutre.
Je me suis mise à genoux pour continuer ma fellation. Je le regardais dans les yeux, exprimant à la fois mon amour pour cet homme qui est au moins aussi vicieux que moi, ma frustration de navoir pas été possédée comme il fallait par lui depuis le début de notre relation, ma colère face à ce qui sétait passé et ce que je devinais.
Philippe me tenait la tête et baisait ma bouche sans ménagement. Il était déchainé.
Mais oui, mon amour, tu es une putain, je le sais et je sais que tu aimes ça. Cest pour ça que je tai exhibée aujourdhui. Ces mecs qui te matent, jaimerais quils te niquent devant moi. Je veux pour toi tous les plaisirs. Fais-moi, cocu ma chérie !
Tu auras ce que tu veux, mon chéri. En attendant, viens, lâches ta purée, je veux te boire mon amour. Je taime !
Moi aussi, je taime mon Olga. Oh je viens. Oui avale tout ma salope ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Jai pris soin de bien nettoyer sa queue, de la ranger soigneusement, déviter toute tache sur le pantalon.
Nous sommes redescendus enlacés et, en bas de lescalier, sous les applaudissements des invités, jai longuement embrassé Philippe. Jen ai profité pour lui faire partager un peu de sa semence que javais gardée en bouche.
Bravo les amoureux ! Vous êtes terribles, vous navez pas pu attendre la fin de la soirée !
Christine, ma chérie, amène-moi donc une coupe de champagne, je viens davaler un nectar que jaime, mais cest un peu salé.
Pendant la réception, jai pu faire la connaissance des deux anciennes compagnes de Philippe, Flavienne et Patricia. Malgré les années, jai eu limpression quelles navaient pas oublié, quelles ne lui avaient pas pardonné et que, dune certaine manière, elles étaient jalouses.
Patricia était particulièrement remontée :
Cest un pervers, vous nimaginez pas jusquoù il vous entrainera. Comment avez-vous pu accepter de porter cette tenue ? Rien que cela va faire scandale dans notre ville. Il vous exhibe comme une prostituée.
Je lai accepté parce que je laime et que moi aussi je suis aussi exhibitionniste.
Patricia nest pas restée au diner, contrairement à Flavienne, qui était venue avec son nouveau mari, mais qui ma semblé encore très éprise de Philippe :
Cest finalement grâce à vous et Patricia que je dois mon bonheur. Parce que Philippe était libre.
Il ma poussée dans les bras dun autre. Jai cédé, mais je nai pas été au bout de ses fantasmes. Je lai souvent regretté car jaimais Philippe. Cest un trésor.
Il me semble que tu laimes encore. » Je métais mise à la tutoyer, mon instinct voyait une rivale.
Oui et je sais que toi tu lui donneras tout ce quil attend. Se faisant, tu ne lui rends pas service. Fais attention à ne pas le détruire et à te détruire. Une hypersexuelle ne peut contrôler les dérives dun candauliste. Vous faites un mélange explosif, je crains le pire. Prends garde de ne lui faire aucun mal, car je serai toujours là pour lui ».
La réception marqua le début de loffensive de Pierre, avec le soutien de Christine. Les deux complices prenaient particulièrement soin de moi, veillant à ce que mon verre ne soit jamais vide. Lalcool, peu à peu, embrouillait mes esprits, la chaleur aidant.
A table jétais entre Philippe et Pierre, Christine était en face de nous. Pierre me faisait la cour, en présence de Philippe et avec ses encouragements. La conversation sorienta vers le sexe. Christine expliquait quelle et son mari Jean étaient un couple libertin, quils organisaient dans leur villa des parties fines et quelle avait plaisir à soffrir à ses amants en présence de Jean et aussi à voir celui-ci honorer dautres femmes. Philippe mentionna à nouveau ses fantasmes candaulistes, en ajoutant que je ne voulais pas.
Christine minterpella :
Mais pourquoi ma chérie ? Tu as un mari qui tadore, qui est tendre avec toi, qui te traite en princesse, qui te laisse entièrement libre. Il te demande juste un petit plaisir et toi tu ne veux pas ? Egoïste, va ! Il me semble pourtant que tu nes pas une oie blanche !
Simplement parce que je veux rompre avec ce passé. Eh bien oui, jaspire à être une bonne bourgeoise, une épouse sage et fidèle, une femme au foyer, mère de famille.
Je me rendis compte que la main de Pierre était sur ma cuisse et remontait, alors que Christine, elle, me faisait du pied. Les deux complices coordonnaient leurs efforts. Pierre écarta mon string, pour que le pied de Christine puisse caresser ma chatte. Lui-même mintroduisit un doigt. Je fermais les yeux, me mordant les lèvres, ne pouvant retenir un gémissement. Sadressant à Christine, triomphant :
Elle mouille.
Au prix dun effort inouï, car je navais quune envie, quils continuent, je me suis levée et jai pris Philippe par la main :
Je sais que tu naimes pas ça, mais allons ouvrir le bal.
En effet Philippe naimait pas ça. Javais choisi un slow, pour me blottir dans ses bras, poser ma tête sur son épaule.
Chéri, tu te rends compte de ce que tu fais. Tu me pousses à bout. Allons-nous en maintenant, je ne veux pas te tromper !
Tu ne me trompes pas, puisque cest ce que je veux.
Puisque cest ce que tu veux. Mais je te préviens, je refuse que tu assistes, je ferai en sorte que tout le monde sache que je tai fait cocu. Mais plus jamais tu ne me piégeras ainsi et je ne recommencerai, tu as compris ?
Lessentiel est que tu reprennes goût au plaisir, le reste viendra, je serai patient.
Il ma ramené vers la table dhonneur. Nous nous sommes embrassés longuement, puis Philippe a dit à Pierre : vas-y, elle est à toi pour cette nuit. Rends-la heureuse, je veux quelle ait le maximum de plaisir !
Je nétais pas décidée à capituler si facilement. Mon corps disait oui, ma tête, même embrumée par lalcool, disait non.
Pierre avait plusieurs complices parmi les invités et ils entrèrent en scène, me faisant danser. Ils me serraient de près, avaient les mains baladeuses. Mais je ne cédais toujours pas aux avances de Pierre.
Dautres invités navaient pas les mêmes scrupules. Cest ainsi que jai vu Christine dans le parc en train de sucer un homme alors quun autre la prenait en levrette. Elle se rendit compte que jassistais au spectacle. Quelques instants après, elle me rejoignit à lintérieur :
Allons ma chérie, arrête de lutter contre ta nature, laisse-toi aller. Je sais que tout à lheure, tu aurais aimé être à ma place
Oui ça ma excité, mais je ne veux pas, je ne peux pas. Je suis mariée désormais !
Christine me prit par la main et mentraina vers un coin plus ou moins discret. Elle me prit dans ses bras et nous échangeâmes un long baiser. Je fis tomber sa robe légère pour découvrir sa poitrine généreuse, caresser et sucer ses seins. Je ne men lassais pas, javais envie de cette femme. Les ébats saphiques me manquaient et tout valait mieux que ladultère quavait programmé Philippe. Si Christine avait voulu, nous aurions rejoint la chambre du premier étage et nous nous serions gouinées jusquau bout de la nuit. Mais lobjectif de Christine nétait pas celui-là :
Jai envie de toi, ma chérie mais ce soir cest autre chose quil te faut. Mais je vais te donner du plaisir.
Christine se mit à genoux, souleva ma robe, fit descendre mon string qui était trempé et commença à branler mon bouton et à doigter ma chatte. Elle se mit à genoux et, de sa langue experte, se mit à me bouffer la chatte. Je caressais sa tête, je fermais les yeux, ivre de plaisir, ne me rendant pas compte quon nous matait, ne se privant pas du spectacle de la témoin, nue, qui donnait du plaisir à la mariée :
Oh Christine, oui. Oh que cest bon. Narrêtes pas, continue. Oh que tu fais ça bien. Jadore ça, je taime ma chérie. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Cest à ce moment-là que jai compris que nous avions des spectateurs, dont Philippe. Il avait donc réalisé une petite partie de son fantasme, en me voyant dans des ébats saphiques. Christine nétait nullement gênée, elle remit sa robe, membrassa fougueusement et se dirigea vers Philippe, tout en sadressant à Pierre :
A toi de jouer, elle est prête !
Puis elle prit Philippe vers la main et sortit avec lui dans le parc. Pierre, lui, voulait en finir et mentrainer vers la chambre de létage.
Je le repoussais : « Non, je ne veux pas ! Laisse-moi tranquille ! »
Les invités, qui avaient assisté à la scène, reprirent leurs danses. Je me dirigeais vers le parc où je vis un couple enlacé. Je mapprochais et je me rendis compte que ce couple, cétait Philippe et Christine. Ils sembrassaient et je vis alors Christine sortir la verge de mon mari et la prendre en bouche. Jétais folle de rage. Je me dirigeais vers eux, jenvoyais une violente gifle à Philippe et je men pris à Christine, lui arrachant sa robe :
Sale pute, tu vas laisser mon homme tranquille ! Il est à moi et à personne dautre !
Jétais dans une colère noire. Je rentrais dans la salle et je voyais Pierre, sur le point de partir, convaincu de son échec.
Tu maccordes cette dernière danse ?
Je lui alors offert mes lèvres, pour un long baiser.
Mets tes mains sur mes fesses, caresse-moi, plote moi, vas-y ne te gêne pas, que chacun sache que je suis à toi cette nuit et que je vais cocufier mon mari !
Les amis de Pierre lencourageaient :
Enfin, vas-y, on pensait que tu avais perdu la main. Elle est à point !
Dautres ne cachaient pas leur indignation :
Quelle honte ! Ils ne vont quand même pas copuler ici
Pierre leur répondit :
Non, ça doit se faire dans la chambre conjugale.
Flavienne alla chercher Philippe, qui avait donné sa veste à Christine, laquelle était en string, sa robe étant déchirée.
Viens voir ton uvre. Tu as ce que tu as tant voulu !
Non, il ne laura pas. Ca se fera ce soir et ça ne se fera plus. Et en aucun cas tu nassisteras. Tu pourras écouter à la porte. Tu en auras plein les oreilles.
Sur ces paroles, jentrainais Pierre vers la chambre. Dès que nous avions franchi le seuil, je le déshabillais et lui fit tomber ma robe. Sa bite était à la hauteur de ce que javais pu deviner toute la journée. Je voulais la branler, la sucer. Il minterrompit.
Ah non, tu me fais bander depuis des heures. Pas besoin de caresses, de préliminaires. Je ne veux pas te faire lamour, je veux te baiser, te saillir, te niquer comme une chienne.
Tu as raison, moi ça fait trois ans que jattends de me faire mettre par un mâle. Prends-moi !
Mets-toi à quatre pattes, je vais te mettre en levrette.
Oh oui cest la position que je préfère !
Il faut que tu le mérites. Chienne, réclame la saillie !
Oui, Pierre, je ten supplie, baise-moi !
Tu veux cocufier Philippe, dis-le !
Oui je veux que tout le monde sache que, dès la nuit de noces, jai été adultère.
Je te prends sans capote et je me viderai dans ton vagin. Daccord ?
Oh oui, je veux bien te sentir, je veux ta semence en moi !
Je vais te la mettre bien au fond. Hum tu es trempée, bien ouverte. Tu me sens bien ?
Oh oui, que cest bon. Javais presquoublié, ça ma tant manqué.
Ses couilles tapaient sur mes fesses. Pierre me besognait sans ménagement et il était incroyablement résistant. Avec Gianni, mon premier amant, avec certains des hommes que jai connus ultérieurement lorsque jai enfin cédé au candaulisme de Philippe, il reste dans ma mémoire comme mon meilleur amant. Ma nuit de noces serait en effet inoubliable.
Couine, ma belle, Philippe doit être de lautre côté de la porte, en train découter, de se toucher.
Oh que cest bon !
Meilleur quavec lui ?
Rien à voir. Je ne prends pas mon pied avec sa queue !
Tu devrais le remercier davoir voulu cela. Laisse entrer pour mater
Non, pas question. Je le punis parce quil sest laissé toucher par une autre femme sans mon accord. Il est à moi ! Oh, je jouis !!!!!!
Je nai pas fini avec toi. Mets-toi sur le dos, je vais te prendre comme ça, pour pouvoir moccuper de tes jolis seins et voir le plaisir monter sur ton visage.
Tu es très chaude, capable denchainer les orgasmes. Tu devrais écouter Philippe et faire ce quil désire tant
Non jai dit ce soir et après cest terminé. Jenterre avec retard ma vie de jeune fille ! Et arrête de parler et saute-moi. Oh oui, que cest bonnnnnnnnnnnnnnnn
Je vais me vider en toi.
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii
Pierre avait une belle capacité de reprise et il me fit lamour encore deux fois, en multipliant les positions, nacceptant que de se vider que dans mon vagin.
Puis il me donna un baiser sur le front et se rhabilla. Il avait joué son rôle, il mavait baisé, il nétait pas question entre nous de sentiments et de tendresse. Il ouvrit la porte, derrière laquelle se trouvait Philippe.
Merci Pierre, tu as rendu Olga heureuse et moi aussi.
Jai fait cela par amitié pour toi. Je pense quil est mieux quon ne se revoie pas pour le moment, car je ne veux pas détruire votre couple. Occupe-toi delle. Elle a maintenant besoin de tendresse, de lamour de son mari.
Philippe sapprocha du lit où jétais recroquevillée. Je pleurais. Il me prit dans ses bras.
Tu men veux ?
Oui, parce que tu mas poussée à faire ça. Non car jai eu un plaisir infini. Cétait un merveilleux cadeau. Mais cest toi que jaime et je ne veux plus recommencer ça, je veux préserver notre couple. Viens et occupes-toi de moi. Je veux tes caresses, ta tendresse. Je veux que tu maimes, dans ce lit où jai été adultère. Commence par bien nettoyer ma chatte, elle est pleine du sperme de cet homme. (à suivre)
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